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 Rien n'est plus magique que notre imagination elle-même ❥ HEZAEL

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SEMICONSCIOUS
Snow B.W. Everdeen
Snow B.W. Everdeen

MessageSujet: Rien n'est plus magique que notre imagination elle-même ❥ HEZAEL   Rien n'est plus magique que notre imagination elle-même ❥ HEZAEL I_icon_minitimeVen 5 Avr - 19:50




La magie opère lorsqu'on y croit.


Trois semaines. Trois petites semaines que je suis ici, cherchant des réponses à mes questions, essayant de trouver une solution à ces rêves qui ont l’air si réels, si vrais. C’est comme une impression que l’hôtel me connait mieux que moi-même, que j’ignore des choses sur ma vie, tous ces flashs qui m’empêchent de dormir, me réveille en sursaut. Trois semaines qu’il n’y a pas une seule nuit que je puisse finir tranquille sans être obligée de me lever, d’aller marcher n’importe où pour respirer. Pas une seule fois où je n’ai pas eu cette impression d’étouffer, de manquer d’air et de mourir lentement… Et pourtant j’aimerais tellement que ça s’arrête. Trois semaines alors que ça parait une éternité pour moi. Encore une fois ce rêve me réveille, me torture l’esprit. Je décide alors d’aller marcher, sortir de ma chambre et me changer les idées. Je mets un déshabillé en soie et quitte la pièce. Laissant mes pas guider ma conscience. L’insomnie est ma meilleure amie dans cet hôtel et ma conscience est la meilleure alliée pour trouver l’endroit qui changera tout, me fera oublier. Je prends les escaliers et monte jusqu’à quatrième étage, ne sachant pas vraiment quoi y faire. Je laisse mes doigts toucher le mur tout en le longeant, j’aime cette sensation, je ne sais pas, elle me fait sentir « vivante » ? Je pousse la porte de la cage d’escalier et traverse le couloir avant de m’arrêter devant la fameuse salle de la création. J’ai entendu dire que tous nos plus beaux rêves prenaient vie sur ses murs blancs lors d’un contact et que dès qu’on le stoppait, tout disparaissait comme si de rien n’était. C’était parfait ! J’ouvre la porte en délicatesse pour ne pas faire de bruit, en même temps à quatre heures du matin, il vaudrait mieux éviter de réveiller qui que ce soit. Je pénètre alors dans cette pièce, les lumières s’allument au fur et à mesure, l’odeur de la peinture fraiche vient chatouiller mes narines et je me laisse tournoyer sur moi-même me sentant libre. Je m’assois un moment par terre, regardant partout, cherchant la moindre trace d’une tâche encore présente mais rien. C’est vrai, tout s’efface sans une main pour aider à peintre. Je me relève et prend une grande inspiration. Bon, par où commencer. Il y a tellement de chose que j’aimerais peindre, voir apparaître sur ces murs. L’extérieur, ma famille, mes amis, le monde qui m’attend dehors et auquel je n’ai plus l’accès. Mais aussi peindre ma joie, et non mes angoisses, mes peurs, mes doutes et mes rêves démoniaques. Car la fantaisie apparaitra lorsque ma main aura frôlé un mur, elle affichera tout ce qui passe par ma tête et la première chose sera évidemment l’horreur. Je ne veux pas de ça, je veux justement oublier et si je réagis ainsi alors c’est perdu d’avance. Je m’approche plus près puis je laisse ma main glisser le long de la paroi, réfléchissant à la splendeur du monde extérieur, la beauté de la nature au printemps, les fleurs qui éclosent, les oiseaux qui chantent leur joie, le sourire qui se dessine sur les lèvres des gens, le bonheur qui emplie nos cœurs. La peinture commence à apparaitre, teintée de rouge, orange et jaune. Du bleu par là et du vert par ci, du gris pour contraster et du noir pour les contours. La magie opère lentement, je ferme les yeux, pose ma respiration et laisse mes rêves sortir pour se mêler au mur blanc. Remplissant alors presque toute la pièce. Quand je les re-ouvres c’est beau, magnifique, fantastique, à la limite du irréel. Tout ce que je vois sur ces murs sont mes rêves les plus beaux, les plus doux, ma bonne humeur contagieuse. Mais elle ne dure pas longtemps, je soupire et le cauchemar apparait, les sensations changent, les couleurs deviennent plus tristes, plus sombres, et tout s’effondre. Le monde tourne à l’envers, ma vie défile comme si c’était la fin et je sens mes jambes tressaillirent avant de me lâcher et me laisser tomber au sol. Ma main lâchant alors le mur et faisant disparaitre toutes images visibles il y a encore quelques secondes plus tôt, laissant la pièce reprendre sa couleur initiale. Des larmes coulent le long de mes joues, je hais ces rêves, je hais ce qu’ils me font, comment ils agissent sur moi. J’ai l’impression d’être dépendante de cet hôtel et d’un autre côté j’ai envie de partir, fuir tout ceci. Je sèche mes larmes, me ressaisissant, je ne me laisserais pas faire, je suis plus forte que ça, plus forte que ces maudits cauchemars qui me hantent. Je me relève à nouveau, déterminée cette fois à voir la vie du bon côté. « Je veux la beauté du monde, la magie qui l’entoure, les rêves doux qui bercent les enfants, les histoires les plus folles qui existent. Je veux un monde où rien ne fait peur, une peinture remplie de joie, de couleur et qui reste gravée à vie dans la tête. » Je dis mes mots tout en reposant ma main contre le mur, en léger picotement traverse mon bras et les couleurs reviennent. C’est différent de la première fois, c’est plus calme, plus réfléchit… C’est comme si un enfant était en train de peintre, de chercher au fond de son âme les plus beaux moments de son enfance jusqu’à maintenant pour en faire un mélange et les poser sur la toile. Un sourire se forme sur mes lèvres, mes yeux pétillent, ravie de voir qu’ils peuvent changer les choses et les tourner à leur avantage. La magie se coupe quand j’entends un bruit au niveau de la porte. Je retire ma main du mur et m’avance vers la sortie ou l’entrée de la pièce, tout dépend le sens dans lequel vous êtes. Puis d’une voix douce je lance. « Il y a quelqu’un ? » Evidemment, sinon je n’aurais pas entendu de bruit bizarre. Je suis vraiment bête parfois.

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Hezael J. Lindgren
Hezael J. Lindgren

MessageSujet: Re: Rien n'est plus magique que notre imagination elle-même ❥ HEZAEL   Rien n'est plus magique que notre imagination elle-même ❥ HEZAEL I_icon_minitimeDim 14 Avr - 22:06


Un doux frisson parcourut la peau de mes bras nus lorsqu’une légère brise vint faire danser les branches et les feuilles des arbustes alentours. L’air frais était ressourçant, apaisant… En ces heures sombres de la nuit, le silence se mêlait à cette fraîcheur bienfaitrice. Le ciel, vide de lune, laissait apparaître une immensité noire clairsemée d’infimes points scintillants. J’avais toujours été fasciné par la beauté de cette étendue mystérieuse et sublime. Assis sur un des fauteuils disposés sur les hauteurs de l’hôtel, j’appréciais le spectacle tel un enfant, mes yeux pétillaient devant la splendeur qui s’offrait à eux. J’allumais une dernière cigarette, toujours ce besoin maladif à assouvir… Cette dose de nicotine dont je ne pouvais me passer quotidiennement. J’ignorais depuis combien j’étais installé là, mais cela devait bien faire des heures… Entre les soirées à profiter du paysage lorsque le temps le permettait, mes heures de lecture à la bibliothèque ou à dessiner, les moments passés au bar à boire quelques verres. Mes occupations étaient nombreuses lors de ces longues nuits où les insomnies m’empêchaient de fermer l’œil. Je finissais par m’informer de l’heure, scrutant un instant les aiguilles de ma montre. Soufflant une dernière bouffée de fumée, je me levai et me dirigeai vers l’intérieur de l’hôtel.

Je n’avais pas sommeil, malheureusement la plupart des habitants de ce lieu avaient été emportés par les bras de Morphée depuis bien longtemps. Je devais me résoudre à rejoindre ma chambre, où j’irais gribouiller quelques esquisses sur mon lit jusqu’à ce que la fatigue m’emporte. Déambulant dans les allées tamisées des étages, je m’arrêtais au quatrième étage au lieu du troisième… Perdu dans mes pensées. En cette soirée j’avais été rongé par un sentiment étrange. Des images de Berenice m’étaient revenues, claires, nettes… Je m’étais posé beaucoup de questions, me demandant si j’avais vraiment fait le bon choix en quittant ma vie d’avant. Je culpabilisais presque de l’avoir laissée seule. Elle était après tout charmante, instruite, très jolie… J’aurais sûrement fini par l’accepter. Mais au fond de moi, je m’étais senti revivre ici… J’avais gagné cette liberté que j’avais tant désirée depuis des années. Il n’y avait pas beaucoup de contraintes ici, j’aimais les gens, le contact humain… La vie en communauté était si appréciable après des années à être enfermé. N’ayant que pour seule compagnie la présence de dizaine et de dizaine de professeurs de prestige… Appâtés par le gain… Mes parents dépensant des fortunes pour mon éducation…

Remarquant alors que je m’étais trompé d’étage, je soupirais bruyamment avant de m’engouffrer dans le couloir qui menait aux escaliers. Puis soudainement une porte attira mon attention. En l’examinant de plus près, je la reconnue immédiatement. Cette salle était sûrement l’une des pièces où j’avais passé énormément de temps. Elle était magique… Un vrai régal pour une âme créatrice comme moi… Je remarquai que la porte était légèrement entrouverte et je semblais entendre du bruit à l’intérieur. Une personne semblait laisser échapper quelques mots. Trop loin pour comprendre, je m’approchais pour entendre… La curiosité était certes un vilain défaut mais j’étais intrigué par la présence de quelqu’un derrière cette porte, à une heure aussi tardive. J’avançais encore de quelques pas, je ne fis pas attention mais la porte grinça lorsque je m’y appuyais… Alertant alors la jeune femme qui avait pris possession des lieux. « Il y a quelqu’un ? » Je poussais alors entièrement la porte… Un sourire se dessina sur mes lèvres. Je n’étais pas gêné de débarquer ainsi. Un peu de compagnie nocturne… Cela ne ferait pas de mal. Je n’avais pas mis les pieds ici depuis plusieurs jours en plus de cela. Laisser aller ma créativité sur ces murs serait une bonne occupation. Je me présentai donc « Bonsoir ! Je ne voulais aucunement vous déranger mais votre présence à attiser ma curiosité. » Je m’avançais légèrement avant d’ajouter « Oh veuillez m’excuser, je m’appelle Hezael… Ou Jack… A vrai dire cela m’importe peu, c’est comme vous le voulez. » Le vouvoiement était de mise chez moi, en tout cas avec des inconnus, et j’étais également habitué à utiliser ce pronom personnel pour désigner mes propres parents. Cela faisait partie de mon éducation et je savais que ça pouvait dérouter certaines personnes. « Je vois que je ne suis pas le seul à venir me divertir dans cette pièce. Elle est un véritable bonheur pour ceux qui apprécient laisser court à leur imagination… » Sur ces mots, je ne pus m’empêcher d’aller près d’un des murs. La tentation était trop forte. Une fois le bout de mes doigts en contact avec le pan de mur, une drôle de sensation s’épris de mon corps… Et les couleurs commencèrent à apparaître, en quelques minutes je représentais le spectacle que j’avais pu admirer en début de soirée sur les toits. Une nuit étoilée… Puis je rompais le contact et tout disparu…
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Snow B.W. Everdeen
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MessageSujet: Re: Rien n'est plus magique que notre imagination elle-même ❥ HEZAEL   Rien n'est plus magique que notre imagination elle-même ❥ HEZAEL I_icon_minitimeSam 20 Avr - 16:12




Un mot peut tout changer. Une rencontre tout bouleverser.


A ma question la porte s’ouvrit entièrement, laissant apparaitre un jeune homme charmant au sourire ravageur. Son sourire contagieux laissa en créer un sur mon visage. De la compagnie nocturne, je crois que c’est la première fois que j’en trouvais une. « Bonsoir ! Je ne voulais aucunement vous déranger mais votre présence à attiser ma curiosité. » Ah la curiosité, défaut assez embêtant mais parfois qui donne place à de bons souvenirs. « Oh veuillez m’excuser, je m’appelle Hezael… Ou Jack… A vrai dire cela m’importe peu, c’est comme vous le voulez. » Il se présente, Hezael, c’est beau comme nom, j’aime bien. Jack ? Pourquoi il m’en donne deux ? Je n’ai besoin que d’un seul nom. Enfin, comme il dit, peu importe. « Bonsoir. Oh, vous ne me dérangez pas. J’avoue que je me sentais, un peu… seule ? La curiosité, je suis pareil alors je ne peux vous en vouloir. » Je souris à nouveau, reculant un peu pour qu’il puisse entrer entièrement dans la pièce. Et à mon tour je me présente. « Moi c’est Bluebell. Enfin ici apparemment ce serait Snow, mais je n’adhère pas tellement à ce prénom. » Je laisse échapper un rire d’entre mes lèvres, je tourne mon regard vers le mur qui est entièrement blanc, me remémorant les beautés qui l’orné il y a quelques minutes auparavant. Je ne serais l’expliquer mais cette salle est magique, digne des plus grands contes de fées qui pourtant n’existe pas. Ce serait tellement parfait un monde uniquement de conte, où tout est merveilleux et simplicité, rien de compliqué, rien d’étrange, rien d’étouffant. Que de la pureté à l’état brut. « Je vois que je ne suis pas le seul à venir me divertir dans cette pièce. Elle est un véritable bonheur pour ceux qui apprécient laisser court à leur imagination… » Je ne sais pas si c’est un divertissement ou un moyen de calmer la douleur mais il est vrai que cette pièce est vrai petit bonheur, une joie intense qu’on ressent à chaque fois qu’on en franchit le seuil. J’aime laisser mon imagination divaguer à son aise quand elle le désire. Je le regarde poser sa main contre un mur, laissant apparaitre un spectacle totalement différent tout mien mais tout autant resplendissant. Un ciel étoilé, une lune brillante, la liberté… Quand le contact se termine, je laisse échapper un soupire. L’extérieur me manque, ma liberté me manque, le fait de pouvoir courir, m’enfuir, m’échapper, me cacher quand ça ne va pas me manque. Ici je me sens piégée, impossible d’échapper au moindre regard, à la moindre question, tout nous surprend et avant même qu’on est eu le temps de dire mot, on tombe dans le néant total. Cet endroit finira par me rendre folle si je ne le deviens pas avant par mes propres moyens. Mais le pire est la sensation que je ressens à son égard. J’ai à la fois peur de l’inconnu mais je suis fascinée par ce qu’il nous montre, ces visions incontrôlables qui surviennent quand ça les chantent et ces nuits au réveil atroce… Je laisse mon regard retrouver mon ami nocturne, un nouveau sourire se glisse sur mes lèvres. « Il est vrai que cette pièce est exceptionnelle. Mais que faites-vous à une heure aussi tardive en dehors de votre chambre ? Il n’y a personne qui se balade dans les couloirs normalement. » Je pourrais m’auto-retourner la question, mais la raison de ma venue est bien simple. Mes insomnies, mes nouvelles meilleures amies. Une nouvelle peinture se dessine dans ma tête et prend place sur tous les murs lorsque mon doigt vient en frôler un. C’est un feu d’artifice, des couleurs qui explosent, éclatent dans toute la pièce, je peux limite entendre le bruit au creux de mes oreilles. Je me souviendrais de ce jour toute ma vie, le feu d’artifice de la fête de la Nouvelle-Orléans. Il était là lui aussi, cet homme, cet inconnu qui me rappelle tant de souvenirs et qui pourtant je n’arrive à me remémorer. C’est stressant, angoissant, à la limite du perturbant. « J’aime la magie que procure le contact avec le mur. C’est tellement… beau ? Je suis sure qu’à deux on pourrait faire des étincelles. » Une proposition, une envie de tester quelque chose de différent, si à nous seul nous créons des images parfaites, alors qu’est-ce que ça donnerait à deux ? Une histoire, un moyen de parler de nos ressentis, de laisser sortir tout ce que nos tripes retiennent. D’hurler notre joie, notre tristesse, nos doutes, nos souvenirs, de partager un moment d’intimité qui jusqu’à maintenant n’avait pas eu lieu d’être. Je voulais en apprendre plus sur lui, Hezael m’intriguait, son regard me laisser perplexe, son imagination me fascinait, me donnait envie d’approfondir ce lien qui grâce à cette nuit allait se créer. Et puis si c’était le moyen d’avoir une compagnie nocturne, je ne pouvais refuser, je voulais qu’il reste, qu’on parle, qu’on échange nos dessins, nos idées pour embaumer cette pièce comme elle le mérite. D’établir un contact avec les autres personnes de cet hôtel, car si ce lieu devait devenir ma prison, autant faire un minimum connaissance avec ces occupants. « Je ne sais pas ce qui vous mène ici, mais si ça ne vous dérange pas, on pourrait rester ici. J’avoue que le sommeil n’a pas envie de m’envelopper de son aisance bien particulière. Alors tenté ? » Moi en tout cas, oui…

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